INAUGURATION DE LA 1 ère TRANCHE DES TERRASSES A SAINT DIZIER

Un projet phare dans un quartier en pleine recomposition

C’est une opération spectaculaire et sortant de l’ordinaire que Plurial L’Effort Rémois s’apprête à livrer dans le quartier du Vert-Bois à Saint-Dizier, en Haute-Marne.
Il s’agit d’un lotissement de 55 logements construit à l’emplacement d’une ancienne tour HLM détruite en 2009 dans le cadre de l’opération de rénovation urbaine. Le chantier a démarré en décembre 2010.

A l’architecture originale du projet, signée par deux architectes de renom, les frères Lipa et Serge Goldstein, s’ajoute la singularité de ce site tout en pente adossé à un bois.

PLURIAL L’EFFORT REMOIS LIVRE LA 1ère TRANCHE DES TERRASSES A SAINT-DIZIER
Le programme : Les Terrasses de Saint-Dizier tire son nom à la fois de la déclivité du terrain sur lequel il s’élève et du belvédère qu’il offre sur la ville : La première tranche livrée en juillet 2013 par Plurial L’Effort Rémois concerne la partie haute du programme, qui comprend 29 logements destinés à la location. Le bâtiment se compose de huit T3, un T4, quatorze T5, cinq T6 et un T7, pour des surfaces allant de 75 m2 à 139 m2. Le montant total des travaux de cette première tranche s’élève à 6 millions d’euros HT.

L’ensemble du programme réussit une sorte de synthèse entre logement individuel et habitat collectif. Construit de manière étagée, il donne à chaque appartement une vue dégagée et imprenable sur la ville.

Chaque logement dispose d’un double accès, avec notamment une communication directe vers le garage et un système de circulation entre chaque strate d’habitations. L’ensemble du stationnement est camouflé par les bâtiments.

Les bâtiments sont conformes au label THPE 2005 (Très haute performance énergétique) qui limite les consommations en énergie. Orientés au sud, les logements bénéficient du maximum d’ensoleillement sans en subir les désagréments grâce aux casquettes qui les protègent des trop fortes chaleurs en été. Les apports de lumière naturelle sont également favorisés tout au long de l’année grâce à de larges surfaces vitrées. Les architectes se sont attachés à mélanger les matériaux pour agrémenter et rythmer les façades. Le bois côtoie l’aluminium, le zinc et la pierre reconstituée. Cette recherche d’effet visuel est l’une des caractéristiques fortes du programme.

LE REGARD DES ARCHITECTES, LIPA ET SERGE GOLDSTEIN
« De l’habitat social ni monolithique ni monocorde »
Les frères Lipa et Serge Goldstein ont entamé leur collaboration avec Plurial L’Effort Rémois au début des années 1980. Une vraie complicité s’est nouée au fil du temps entre le bailleur social et les deux architectes. À tel point qu’ils ont pratiquement eu « carte blanche » pour concevoir le projet bragard.

Guidés par le souci du confort et de l’agrément des locataires, Lipa et Serge Goldstein ont imaginé un programme qui tire parti de la pente du site et de son panorama sur la ville. Ils ont voulu introduire de la variété et des cassures de rythme dans leur projet. Les logements disposent tantôt d’une terrasse, tantôt d’un jardin privatif. Le mélange des matériaux employés dans la construction souligne aussi la volonté de créer un habitat social qui ne soit « ni monolithique, ni monocorde », pour reprendre l’expression de Lipa Goldstein.

Tout a été pensé pour que « les résidants s’y sentent bien ». Ce programme fait sur-mesure tient une place à part dans l’oeuvre des frères Goldstein. « On l’aime bien », confesse Lipa, qui dit avoir pris plaisir à exercer son métier d’architecte à travers ce projet gratifiant pour des hommes de l’art tels que son frère et lui.

LE REGARD DU MAIRE DE SAINT-DIZIER, FRANÇOIS CORNUT GENTILLE

Le premier magistrat bragard souligne « la vraie dimension sociale » du programme des Terrasses.
« cet ensemble immobilier offrira une réelle qualité de vie aux locataires. On n’est pas dans de l’architecture abstraite mais dans la recherche de la satisfaction des locataires. Cela découle d’une volonté et d’une réflexion de la part de Plurial L’Effort Rémois et des deux architectes. Aux yeux du maire de Saint-Dizier, ce projet prouve à tout le moins qu’il est possible de faire du logement social « non stigmatisant », qui ne déparerait pas dans le parc privé. Plus globalement, François Cornut Gentille estime que ce nouveau lotissement s’inscrit parfaitement dans l’esprit de « Saint-Dizier 2020 », vaste projet urbain visant à transformer l’image de la ville et à améliorer la qualité de vie de ses habitants et montre qu’une ville moyenne peut faire la différence sur la qualité.

Publié le 12 juillet 2013
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