Nouvellement créée, la société Conciliaprêt permet, pour la première fois, d’accompagner les personnes, TPE et PME piégées par le fardeau d’une dette immobilière devenue trop lourde à rembourser.
Qu’il s’agisse d’une résidence principale ou d’un investissement locatif, les causes d’une telle situation sont multiples, et pas toujours simples à établir. Le facteur humain y joue un rôle important :
crédulité, confiance excessive, naïveté… Et quand le constat en est fait, la victime est bien seule face à ses créanciers, et face à son entourage impuissant.
Trouver une issue à cette situation anxiogène et parfois dramatique qui en résulte : telle est la mission que se sont fixée les fondateurs de Conciliaprêt.
Comme souvent, l’idée est née de l’expérience : douloureuse, d’abord, vécue par l’un des deux fondateurs, lui-même victime d’une opération immobilière qui a mal tourné ; puis heureuse, à travers la coopération avec le second, qui a permis d’éviter un désastre financier et un drame familial.
Que la motivation de l’investissement ait été la défiscalisation ou l’espoir de se constituer un capital immobilier à travers l’acquisition d’une résidence principale, nul n’est en effet à l’abri de mauvaises surprises.
Particuliers, TPE, PME : Conciliaprêt assiste donc les victimes d’un investissement immobilier qui a mal tourné, suite à une malveillance, un défaut de conseil, une négligence… et privées de moyens efficaces pour s’en protéger a posteriori.
Conciliaprêt propose ainsi un service innovant : rechercher, avec le concours de spécialistes (avocats, juristes, experts immobiliers et financiers), une solution durable qui prenne en compte tous les tenants et aboutissants de la situation.
Cet accord négocié, obtenu grâce à la créativité des intervenants autant qu’à des arguments de fond, vise par exemple à réduire définitivement le montant de la dette. Au final, le but est bien de rassurer débiteurs et créanciers et de concilier les intérêts de chacun.
Engager Conciliaprêt à ses côtés ne signifie pas alourdir sa dette : outre des frais de dossier mineurs, la société prévoit en effet de se rémunérer au prorata du succès de sa mission d’accompagnement, et une fois seulement qu’une solution pérenne a été entérinée par les parties.
